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Les pensées coquines d'Erik
20 février 2013

Madame la colonelle

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Un appel à textes des éditions de la Musardine, en vue d'un nouveau recueil de la collection "Osez 20 histoires...", m'a poussé à m'intéresser au thème de l'exhibition et du voyeurisme qui ne m'est pas du tout familier.

La réponse de l'éditeur mettant en avant "la concurrence particulièrement rude pour ce recueil" et évoquant "la grande qualité" de mon texte a adouci la déception de ne pas avoir été retenu.

Je le soumets aujourd'hui à votre jugement, heureux qu'il puisse trouver un lectorat, même restreint...
Bonne lecture !

 

Esther est une femme du monde. Épouse du colonel Liton, commandant du régiment d’artillerie, elle fait partie du gratin de cette ville de garnison qu’elle n’habite pourtant que depuis un an. Sa présence rayonnante semble indispensable à la réussite de toute réception officielle où chacun s’enorgueillit de l’accueillir à sa table.

Ce dont personne ne se doute, c’est qu’Esther a des envies très particulières. Habituée à être l’objet de tous les regards, se pavaner en robe longue ne lui suffit plus : son décolleté lui semble toujours trop sage, ses robes et jupes trop courtes. Pendant les soirées mondaines, son esprit vagabonde. Elle s’imagine en tenue vaporeuse, ses courbes et sillons exposés à tous. Le durcissement de ses tétons et l’humidité qu’elle ressent alors entre ses cuisses sont d’une douceur exquise. Mais elle se doit de penser à la carrière de Nicolas, son mari, et de rabrouer ses envies.

Il en est ainsi jusqu’au jour où, passant devant la vitrine d’un magasin de farces et attrapes, la solution lui parait limpide. Elle pénétre d’un pas décidé dans la boutique, fait ses emplettes et se hâte de rentrer chez elle. Après avoir caché ses achats au fond de sa commode, elle s’installe devant son ordinateur et passe le reste de l’après-midi à naviguer d’un site à l’autre, reconnaissante envers l’inventeur du commerce en ligne.

Le jeudi est son jour réservé. Son époux ne rentre jamais déjeuner et elle n’accepte aucune obligation. Selon l’humeur, elle reste au lit, s’adonne à sa passion pour la lecture y compris dans des registres un peu osés, sort flâner dans les rues ou encore visite châteaux et musées.

Le jeudi suivant la réception de ses divers colis, elle passe la matinée entre son dressing et sa salle de bains. Vers midi, satisfaite, elle se mire longuement dans sa glace. Un fond de teint très pâle, des lentilles de contact de couleur verte, du mascara pour donner du volume à ses cils, du rouge à lèvres tirant vers le noir et une longue perruque blonde font d’elle une toute autre femme. Son redresse-seins met en valeur sa poitrine tout en laissant deviner ses mamelons à travers le chemisier blanc légèrement transparent qu’elle a finalement choisi. Sa courte jupe couleur framboise cache à peine la dentelle ornant le haut de ses bas autofixants.

Tremblante de sa témérité, elle monte dans sa voiture sans tarder, de peur de se raviser. Elle emprunte la route nationale pour rejoindre le centre commercial de la ville voisine dont l’éloignement d’une trentaine de kilomètres minimise les risques de croiser une connaissance. Dans la galerie marchande, l’impression de porter une pancarte « cochonne exhibitionniste » lui fait monter le rouge aux joues. Elle se réfugie dans le salon de thé tout proche et s’assoit à la première table libre. Le temps de reprendre ses esprits, elle entend la serveuse qui, un regard désapprobateur fixé sur son chemisier, lui demande :
- Alors, pour madame, ce sera quoi ? Vous n’êtes pas seule ici !
- Euh, une part de tourte, la patisserie du jour et un café, s’il vous plait, répond-elle en se demandant si le reproche concerne sa lenteur à commander ou sa tenue.

Esther remarque l’homme au comptoir lorsqu’elle termine son plat salé. Habillé de cuir, plutôt mignon, il a des allures de motard. Il ne la lâche pas des yeux. Elle ne tarde pas à ressentir une onde d’excitation. Ses tétons dardent sous son chemisier. Discrètement, elle passe la main sur sa poitrine pour qu’ils durcissent encore et soient toujours plus provocants. Visiblement, l’inconnu apprécie le spectacle. Esther écarte légèrement les jambes et retrousse suffisamment sa jupe pour qu’il voie sa peau nue au dessus de ses bas. Devant les signes d’encouragement muet de son spectateur, elle donne une dernière touche au spectacle en léchant avec gourmandise son éclair au chocolat, puis en le mettant en bouche en imaginant la verge du bel homme. Elle meurt d’envie de caresser ses seins et de passer sa main sous sa culotte.

Avant que la tentation ne devienne trop forte, Esther se lève, se rajuste, règle l’addition et se dépêche de rejoindre le havre sécurisant de sa voiture. Un regard circulaire lui confirme l’absence de personnes à proximité. Elle remonte sa jupe sur sa taille avant de s’asseoir et déboutonne son chemisier. Fermant les yeux pour se remémorer l’homme en cuir, elle joue avec ses seins, les caresse, les étire, fait rouler leurs bouts entre ses doigts. Une main glisse sur son ventre, passe sous son tanga pour enfin plonger l’index et le majeur dans l’antre du plaisir abondamment lubrifié. Ils s’agitent entre son vagin et son clitoris comme doués d’une vie propre pour l’amener rapidement à la jouissance.

Pendant tout le trajet du retour, elle ne peut s’empêcher de ressasser les événements de la journée, passant et repassant le film dans sa tête. Partagée entre l’excitation et la culpabilité, elle n’en revient pas d’être allée si loin.

Le soir, lorsque son mari rentre à la maison dans son bel uniforme, elle a encore du mal à voir clair dans l’ambivalence de ses ressentis. D’une part, elle reste frustrée et voudrait qu’il la pénètre sauvagement. Mais d’autre part, un sentiment de honte prédomine et la met mal à l’aise en empêchant sa libido de s’exprimer. Furieuse contre elle-même, elle coupe court à tout début de préliminaire et, à peine couchée dans le lit conjugal, tourne ostensiblement le dos à Nicolas. Mais que lui a-t-il pris ? Est-elle devenue folle ? Demain après le départ de son mari, elle irait jeter tous ces accessoires avilissants dans un container anonyme et tirerait une croix définitive sur cet égarement impardonnable, décide-t-elle fermement avant de s’endormir contrariée.

Mais le vendredi, elle ne peut se résoudre à mettre sa résolution en pratique et la reporte au lundi. Le lundi, elle n’a pas le temps de s’en occuper, pas plus que le mardi ni le mercredi. Jeudi, elle sort ses affaires, les étale sur son lit, et s’arrangeant avec sa conscience, finit par transiger :
- Bon allez, j’en profite une dernière fois et je jette tout ce soir.

Elle choisit alors une minirobe en lainage bien moulante. Après un court instant de réflexion, elle décide de ne porter en dessous qu’un porte-jarretelles et des bas.
Arrivée au centre commercial, elle se sent déjà plus à l’aise avec son look hyper sexy de blonde provocante. Elle marche la tête haute, souriante et se dirige vers le salon de thé en se demandant intérieurement si l’on peut deviner la raie entre ses fesses. Une bouffée de plaisir l’envahit lorsqu’elle aperçoit l’inconnu à la veste de cuir installé au comptoir. Elle choisit alors sa place de manière à ce qu’il ne rate rien du spectacle qu’elle lui prépare. Tout en mangeant, elle lui dévoile peu à peu ses cuisses, fait remonter sa robe toujours plus haut, dévoilant sa lingerie, puis son absence de lingerie ! Son admirateur apprécie visiblement et, lui souriant, pose ostensiblement sa main sur la protubérance de son entrejambe. En réponse, elle passe un doigt dans sa fente avant de lécher sa cyprine avec gourmandise. Ses envies la reprennent, elle en veut plus. Laissant un billet sur la table, elle lui fait un clin d’œil et sort du salon de thé en se déhanchant pour l’aguicher encore davantage. Arrivée au parking, elle est rassurée en constatant qu’il la suit de loin. Elle monte dans sa voiture, robe relevée et condamne les portières. Elle passe une jambe de l’autre côté du levier de vitesse pour bien exposer son minou et se caresse avec volupté devant son voyeur. Enfoncée dans le fauteuil, elle ne peut voir sa queue, mais les mouvements de son bras ne laissent aucun doute sur son activité ! Cette prise de conscience agit comme un catalyseur et son plaisir monte à grande vitesse vers un orgasme foudroyant.

Une fois rentrée chez elle, elle ne peut se résoudre à renoncer à ce nouvel univers de sensations fortes en jetant les preuves de son infamie. Le soir, comme le jeudi précédent, elle se sent mal à l’aise et reste à distance de son époux. Ainsi, chaque jeudi, le même rituel se déroule : se maquiller, choisir sa tenue, toujours plus osée, se rendre au centre commercial, se donner en spectacle devant l’homme en cuir avant de se caresser sans retenue dans la voiture observée par son fan attitré.

Un jeudi de mai, rompant le cérémonial habituel, l’homme au blouson se lève, passe devant sa table et pose discrètement un paquet de cigarette avant de sortir. Intriguée Esther l’examine de tous côtés avant de repérer une fine écriture : « Parking du club de tir, 176 route de la carrière ». Elle cherche l’adresse sur son smartphone, regagne sa voiture et ne peut s’empêcher d’obéir à la consigne informulée de son admirateur en rejoignant le lieu de rendez-vous. Il s’agit d’un vaste espace en graviers, isolé en pleine campagne. Quelques voitures sont stationnées, avec des personnes attroupées autour de chacune. Intriguée, elle s’avance doucement bien à l’abri de sa voiture. Arrivée à une dizaine de mètres, elle est fascinée en découvrant tous ces hommes, dont son inconnu au blouson de cuir, en train de se masturber sans retenue. Ils matent le spectacle qui se déroule à l’intérieur des voitures dont elle imagine sans peine la teneur. Elle est intellectuellement scandalisée par l’exhibition de tous ces sexes, mais la vue de tous ces phallus fait monter une douce chaleur entre ses cuisses. Elle se gare un peu à l’écart pour ne pas trop attirer l’attention et se donne du plaisir le regard fixé sur tous ces mâles.

En rentrant chez elle, un signal raisonne dans sa tête. L’appartement n’est pas comme d’habitude. Tous les sens en alerte, elle cherche ce qui a changé. La porte de sa chambre est grande ouverte, alors qu’elle la ferme toujours. Elle s’approche sans faire de bruit jusqu’à apercevoir le bout de son lit… avec toutes ses tenues affriolantes, tous ses dessous coquins et tous ses jouets étalés. Mais que se passe-t-il ? Le coeur battant la chamade, elle progresse encore d’un pas et trouve son mari figé sur une chaise, le visage fermé. Elle rougit d’un coup, voudrait fuir. Elle est découverte, ses pires secrets placés sous le feu des projecteurs.
- Viens ici, dit le colonel de sa voix d’officier habitué à se faire obéir.
- Oh chéri, pardonne-moi, je ne recommencerai plus, j’ai honte, je vais tout t’expliquer.
- Tais-toi et écoute-moi ! Depuis des semaines, j’ai remarqué combien tu étais distante les jeudis soirs. J’ai compris qu’il se passait quelque chose. J’ai cru que tu me trompais. Je voulais en avoir le coeur net. Alors, ce matin, j’ai pris une voiture banalisée du régiment et je me suis mis en planque devant chez nous. Je n’ai reconnu la femme blonde que lorsque qu’elle est montée dans ta voiture. Je t’ai alors prise en filature jusqu’au centre commercial. Je n’en croyais pas mes yeux. Toi, pur produit de la bourgeoisie provinciale, habillée comme une salope ! Dans le salon de thé, tu étais tellement absorbée à faire ton show à ce mec que tu ne m’as même pas vu. Je t’ai suivie jusqu’à ce lieu de rendez-vous pour voyeurs en manque. Ça me suffisait. Je suis rentré ici et je n’ai pas été long à trouver ta cachette et voila le résultat. J’ai été subjugué !
- Mais mon amour, je…
- Je n’ai pas fini ! Ce qui me choque, ce n’est pas tant que tu te comportes comme une chienne en chaleur. Tant que tu es discrète, c’est l’essentiel. Non, ce que je ne comprends pas, c’est que tu mènes une double-vie de laquelle tu chasses délibérément ton mari.

Esther fond en pleurs et se précipite à genoux devant lui. Elle ne trouve rien à dire pour sa défense. Elle a été si stupide. Elle se sent si nulle. Elle a si peur de perdre l’homme qu’elle aime, l’amour de sa vie.
- Jusqu’où es-tu prête à aller pour que je te pardonne ?
- Je ferai tout ce que tu voudras. Ou plutôt j’arrêterai tout ce que tu voudras.
- Alors sèche tes larmes.

Tout n’est-il pas perdu ? Une issue heureuse reste-elle possible ? Esther ne sait plus où elle en est, elle ne sait plus que croire. Elle lève les yeux sur Paul. Il tient dans ses mains ses boules de Geisha qu’il examine avec soin.
- Mets-les !
- Mais…
- Je t’ai dit de les mettre.

Esther ne reconnait pas son époux. Il a toujours été si doux, si tendre avec elle, presque trop à son goût. Elle lui obéit puis tend le bras pour attraper une culotte.
- Tu n’en as pas besoin !
- Mais si elles glissent ?
- Tu as des doigts pour les retenir, non ? Maintenant allons-y.

Docile, elle le suit jusqu’à la voiture et s’installe sur le siège passager. Au premier feu rouge, il lui demande de remonter sa jupe sur ses hanches et d’écarter les cuisses pour qu’il voie bien son minou. Au deuxième, il s’arrête juste à côté de la cabine d’un semi-remorque.
- Mais, chéri, il va tout voir !
- C’est ce que tu aimes non ?

Et glissant sa main entre ses cuisses, il ajoute :
- De toute façon, tu ne peux pas dire le contraire : tu as la chatte trempée !
Il se penche alors vers le vide-poche et en sort un appareil numérique. Sans lui demander son avis, il prend en photo son sexe luisant d’où sort le cordon des boules. Une nouvelle fois, Esther est submergée par des sentiments partagés. Elle se sent humiliée, mais est encore plus excitée que d'habitude d’être ainsi exhibée… par son propre mari !

Médusée, elle s’aperçoit qu’il la conduit au lieu de débauche qu’elle a découvert cet après-midi même et arrête la voiture à proximité immédiate des voyeurs. Il coupe le contact, ouvre sa braguette et sort son sexe en pleine érection.
- Puisque tu aimes te donner en spectacle, viens donc t’occuper de ma queue, en bonne épouse !

Incapable de prononcer un seul mot, elle s’exécute et baisse la tête vers l’entrejambe de Nicolas. Conscient de tous les regards qui l’observent, elle passe ses doigts autour de la base de sa verge et les fait coulisser de haut en bas. D’une langue gourmande, elle lape la hampe en suivant le tracé de cette veine turgescente qu’elle aime tant. Elle suce son gland, avalant quelques gouttes de liquide séminal qui lui prouvent combien cette situation l’excite lui aussi. Quand enfin, elle le fait coulisser dans sa bouche, elle sent les mains de Nicolas caresser ses cheveux et accompagner son rythme comme pour l’encourager. Entièrement concentrée sur son ouvrage, elle entend à peine les déclics de l’appareil photo immortalisant ces instants.

Pour la première fois, elle aimerait qu’il vienne ainsi, dans sa bouche : elle imagine le sperme déborder aux commissures de ses lèvres pour le plus grand plaisir de leur public. Mais son partenaire de débauche lui fait redresser la tête. Il couche le dossier du fauteuil passager pour qu’elle s’installe à quatre pattes, cuisses bien ouvertes et lui demande d’écarter au mieux ses fesses de ses mains.

Attentif à ne pas trop obstruer la vue aux hommes qui ont pris place de tous côtés de la voiture, il joue avec ses boules, les fait entrer et sortir. Parfois, il les retire, les remplace par trois doigts et lui donne le jouet à lécher avant de le glisser à nouveau tout au fond de son abricot. Elle sent sa liqueur couler le long de ses cuisses et imbiber peu à peu ses bas.

Elle n’est plus qu’envie, que désir, que plaisir. Elle ne pense plus qu’à son sexe, qu’à celui de Nicolas, qu’à tous ceux qui l’entourent. Elle oublie tout le reste, qui elle est, ses valeurs, son éducation. Enfin, elle accueille au fond de sa grotte le membre tant désiré de l’homme qu’elle aime, bien dur et long. Il va et vient longuement, profondément, avec douceur mais aussi fermeté, agrippé à ses hanches. Elle perd pied. La bite de l’homme qu’elle aime lui laboure la chatte. Ces hommes se paluchent en la matant, elle se sent salope, cochonne, chienne lubrique. Elle crie sans aucune retenue son plaisir quand son orgasme survient, bientôt suivi par les spasmes de son homme se vidant en elle.

Sur la route du retour, leurs mains se rejoignent amoureusement sur le levier de vitesse, leurs regards se croisent exprimant leur complicité. Elle avait cru le perdre quelques heures plus tôt. Elle retrouve un mari, un amant, un partenaire de jeu avec lequel elle peut désormais partager ses fantasmes les plus inavouables.

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Commentaires
S
Chaud, bien écrit. Érotique sans porno graveleux. Ce récit mériterait même d'être revu en profondeur (sans jeu de mot...) pour l'étouffer un peu plus...
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J
Voilà un fort beau joli texte avec juste ce qu'il faut de coquinerie, de sensualité, de beauté en rêve sur le corps de cette femme enchanteresse.<br /> <br /> <br /> <br /> Bravo !
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F
J'ai bien apprécié vous lire. Un agréable moment de détente comme toujours :-)<br /> <br /> J'ai trouvé votre histoire délicieusement érotique.<br /> <br /> La dame du colonel très coquine et imaginative m'a beaucoup plu .<br /> <br /> J'ai trouvé son mari un peu arrogant mais parfois on les aime ainsi ;-) <br /> <br /> Vos scènes coquines sont efficaces sans tomber dans la vulgarité.<br /> <br /> Je me suis laissée prendre par vos mots et, encore une fois je vous ai lu avec plaisir.
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C
J'aime beaucoup ce texte qui me ramène à mes rêveries d'adolescente quand ma grand mère me donnait des "Delly" à lire, ton texte bien sur en version beaucoup plus hot car, comme dans toute belle fable", tout est bien qui finit bien <br /> <br /> Un joli rêve que cette réaction du Colonel ...Que la dame a de la chance ! ;)<br /> <br /> Je dis aussi bravo car ça ne se lit pas sans réaction physique !
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E
Merci Flore, je me réjouis que tu ais aimé ma colonelle !<br /> <br /> Je préfère te prévenir : dans une nouvelle proposée pour un autre appel à textes, j'écorne largement l'institution du mariage :(<br /> <br /> À bientôt !
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Les pensées coquines d'Erik
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